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ABANDON, subst. masc.
I.− [L'agent est toujours une pers.] Action de rompre le lien qui attachait une personne à une chose ou à une personne.
A.− [Le verbe correspondant serait à l'actif; l'obj. est introd. par la prép. de ou un adj. poss. (ex. 7)]
1. [L'obj. est une chose]
DR. (le lien ant. avec l'obj. était un lien de propriété). Action de renoncer à la possession d'un bien :
1. De la cession de biens. 1265. La cession de biens est l'abandon qu'un débiteur fait de tous ses biens à ses créanciers, lorsqu'il se trouve hors d'état de payer ses dettes. 1266. La cession de biens est volontaire ou judiciaire. Code civil,1804, p. 228.
2. ... chez les peuples civilisés (...) la vie domestique (...) a des devoirs qui imposent perpétuellement le sacrifice de ces droits. Mais l'abandon qu'on en fait est volontaire, généreux, honorable; il devient ainsi une possession, une jouissance et un bien de plus. J. Joubert, Pensées,1824, p. 239.
Rem. 1. Noter l'expr. faire l'abandon de (ex. 1 et 2). 2. Dans l'ex. 1, un obj. second est introd. par la prép. à (à ses créanciers), qui désigne la pers. en faveur de laquelle est faite la renonciation. 3. Abandon prend un sens partic. dans la lang. de la Bourse : ,,Acte par lequel l'acheteur renonce à un marché conclu en consentant à payer la prime.`` (Littré).
En marge ou en dehors de la lang. du dr. (le lien ant. avec l'obj. était un lien moral).Action de cesser de s'occuper d'une chose à laquelle on était lié par l'intérêt qu'on lui portait, par un engagement, etc. :
3. Abandon de poste. (Terme de législation militaire.) Ac. Compl.1842.
4. Il a fallu près d'un siècle pour que le service rendu par Louis-Philippe fût compris et apprécié. En 1831, sa renonciation à la Belgique passa pour une trahison, un lâche abandon des traditions révolutionnaires et napoléoniennes. J. Bainville, Histoire de France,1924, p. 170.
5. Il ne voulait pas de ces larmes, elles n'avaient pour lui aucun sens. (...) C'étaient comme des larmes versées en vain. La simple acceptation, l'abandon de la lutte inutile, le geste qui avoue la défaite, s'offre au vainqueur, cela seul eût ouvert la vraie source des pleurs, et il redoutait plus cette délivrance qu'aucun supplice. G. Bernanos, L'Imposture,1927, p. 376.
6. Il existe un scandaleux écart, une scandaleuse distance entre ce qu'énonce la philosophie et ce qui arrive aux hommes en dépit de sa promesse; (...) Elle n'est jamais là où l'on aurait besoin de ses services. Elle est, ou plutôt paraît, démissionnaire. Il faudra même parler d'abandon de poste, de trahison. P. Nizan, Les Chiens de garde,1932, p. 53.
7. En lui [le mysticisme chrétien] se manifeste un étonnant équilibre entre l'agir et le pâtir, entre la possession du monde et son abandon, entre le goût des choses et leur mépris. P. Teilhard de Chardin, Le Milieu divin,1955, p. 144.
Rem. Le domaine auquel appartient l'obj. est gén. pol. ou milit.; une nuance dépréc. (exprimable par des adj. comme lâche : cf. ex. 4) s'attache à la rupture du lien moral. La lang. de l'escrime connaît un emploi techn. non appréc. : ,,Mouvement par lequel on quitte le fer soit en marchant, soit en prenant le plus long pour aller aux parades.`` (Ac. Compl. 1842); plus récemment la lang. du sport a donné une nouvelle vitalité à l'emploi de ce subst., p. ex. dans la lang. de la boxe : être battu par abandon par oppos. à être battu aux points, être battu par disqualification de l'arbitre; la même lang. connaît aussi la constr. de abandon avec un compl. déterminatif indiquant l'agent de l'abandon, ex. : [le combat de boxe] devait durer jusqu'à l'abandon d'un des 2 hommes (La Vie au grand air, 11 déc. 1909).
2. [L'obj. est une pers.] Action de cesser de s'occuper de qqn à qui on était lié par un lien d'affection ou d'obligation. (Nuance péj. comme dans l'accept. précédente).
a) [La pers. obj. est différente de l'agent] :
8. Tristesse grandissante de la maison. Chez la maîtresse, comme une perception de l'abandon qui se fait autour d'elle, du lâchage des peintres, qui y viennent comme à une corvée; de la désertion des ambitions, qui renoncent à cette maison qui ne mène à rien. E. et J. de Goncourt, Journal,1868, p. 456.
9. Il a subi le délaissement de son père, l'abandon de Dieu, la sécheresse et le désert des dérélictions absolues... J. Malègue, Augustin ou le Maître est là,t. 2, 1933, p. 474.
b) [La pers. obj. est la même que l'agent (abandon de soi)] :
10. Elle [Nana] ... tuait le temps à des plaisirs bêtes, dans son unique attente de l'homme ... et, au milieu de cet abandon d'elle-même, elle ne gardait guère que le souci de sa beauté ... É. Zola, Nana,1880, p. 95.
11. Le peu qu'il a de doctrine politique ou sociale est commandé par ce même besoin pathétique de se livrer à l'ennemi, de livrer son âme. Ce que les niais qui l'entourent appellent indépendance, hardiesse, n'est que le signe visible, bien que méconnu, de sa morose nostalgie de l'abandon total, d'une définitive liquidation de lui-même. Tout ennemi de la cause qu'il prétend servir a déjà son cœur; ... G. Bernanos, L'Imposture,1927, p. 315.
12. Cette collaboration avec l'Allemagne, si souhaitable, si souhaitée par nous en un temps où le grand nombre, où l'opinion la considéraient comme impie (je veux dire en 1918), qu'elle nous soit aujourd'hui proposée, imposée, par ceux-là mêmes qui la tenaient hier pour inadmissible; qu'elle devienne pour nous un gage de la défaite, un témoignage d'abandon de soi, d'abdication, de reniement ... C'est ce qui met la conscience (la mienne du moins) à la torture. A. Gide, Journal,1942, p. 123.
[Le subst. est suivi d'un compl. d'obj. second. indiquant la pers. en faveur de qui se fait l'abandon (notamment dans la lang. de la mor. ou de la relig.), avec une nuance appréc. ou dépréc. suivant l'échelle des valeurs du suj. parlant] :
13. ... c'est bien plus par leurs défauts que par leurs qualités qu'on gouverne les hommes. Personnalité, goût pour l'argent, amour de la domination, tous ces penchants se fortifient quand une femme, en les connaissant, ne cesse de nous reprocher notre générosité, notre oubli de nous-mêmes, notre abandon à la volonté des autres. G. de Staël, Lettres inédites à Louis de Narbonne,1792, p. 44.
14. De tous les port-royalistes, Du Guet est celui peut-être dont les lettres conviennent le mieux par la netteté de la doctrine à tous les stricts chrétiens selon Saint Paul. Il professe l'abandon pur et simple de tout l'homme à la merci de Dieu ... Ch.-A. Sainte-Beuve, Port-Royal,t. 4, 1859, p. 508.
Rem. Chez les mystiques, qui parlent de l'abandon à la volonté de Dieu, la nuance appréc. l'emporte; chez les historiens de ces derniers la nuance peut être plus ambiguë (cf. ex. 14, où à la merci introduit un élément critique à l'égard de l'abandon).
[Dans la lang. de l'amour, en parlant d'une femme, l'obj. second. restant gén. implicite; la nuance est dépréc.] :
15. ... Octave Pouret était le conquérant audacieux, l'esprit net, résolu à demander aux femmes la royauté de Paris, tombé en pleine bourgeoisie gâtée, faisant là une terrible éducation sentimentale, passant du refus fantasque de l'une au mol abandon de l'autre, ... É. Zola, Le Docteur Pascal,1893, p. 110.
16. ... la femme qui se débattait en le suppliant, sur le plancher où ils étaient tombés, puis sur ce lit, et ce consentement soudain, cet incompréhensible abandon : elle avait cédé tout à coup; ... J. Green, Moïra,1950, p. 225.
B.− [Le verbe corresp. serait au passif; l'agent reste gén. implicite; valeur toujours péj.] État résultant de l'action de délaisser.
1. [L'obj. est une chose] :
17. Ce n'était plus l'ancienne campagne d'abandon, de saleté et de misère où les paysans croupissaient depuis des siècles, dans l'entêtement borné de la routine et de la haine. É. Zola, Travail,1901, p. 261.
De là l'expr. : (laisser) à l'abandon, Expr. qui s'applique souvent aux choses, mais aussi aux pers. et aux anim. :
18. Il fallait laisser le temps, aux caractères effacés, de reparaître, ne pas chercher à les former. Laissant donc mon cerveau, non pas à l'abandon, mais en jachère, je me livrai voluptueusement à moi-même, aux choses, au tout, qui me parut divin. A. Gide, L'Immoraliste,1902, p. 399.
Rem. La valeur péj. peut être soulignée par des adj. comme triste.
2. [L'obj. est une pers.] :
19. ... le profond néant de sa faiblesse, toute fuite fermée, aucun appui, son abandon, son isolement, ces pensées et mille autres l'avaient accablée. V. Hugo, Notre-Dame de Paris,1832, p. 524.
Rem. gén. L'action de rompre affectant une chose ou une pers. dans sa totalité, abandon (qui contient cette notion) se trouve fréquemment empl. avec des adj. comme total, complet, et à un degré de fréquence moindre, avec les adj. entier et absolu.
II.− Action de laisser aller son corps, son cœur, son esprit, etc. à leur pente naturelle, (avec suggestion de l'effet qui en résulte).
Rem. Ce sens se rattache au sens I A 2 b : le verbe corresp. serait à l'actif, l'obj. désigne la même pers. que l'agent; il s'agit d'un cas part. de l'abandon de soi avec insistance sur l'impression produite.
L'effet produit peut être désagréable :
20. La Faustin est couchée sur une chaise longue, sans être habillée, dans le négligé, l'abandon d'une femme mal en train ... E. de Goncourt, La Faustin,1882, p. 254.
Il est habituellement envisagé comme agréable (éventuellement déterminations intensives ou qualitatives par des adv. de quantité ou des adj. comme complet, entier, confiant); il s'applique volontiers à la parole :
21. Abandon, se dit aussi en parlant des discours, des ouvrages, des manières, etc. d'Une sorte d'abondance facile, de négligence aimable, qui exclut toute recherche, tout effort, toute affectation. Il y a dans cette partie de son discours un heureux abandon. Elle a dans ses manières un abandon séduisant. Ac.1798.
22. Je m'étonne d'être si content de moi-même et des autres hommes avec lesquels je me suis trouvé aujourd'hui en rapport et en accord; point de méfiance, beaucoup d'abandon et aussi d'indiscrétion et d'imprudence. Maine de Biran, Journal,1819, p. 246.
23. Cette femme a dans ses manières un abandon séduisant. Le maintien, les gestes de cette actrice ont un gracieux abandon, un doux abandon. Il a dans la conversation le plus aimable abandon. On trouve dans cet ouvrage, dans l'exécution de ce tableau un heureux abandon. Ac.1835.
24. Madame et Mesdemoiselles Katchiflisse sont les trois personnes les plus célèbres de Syrie pour leur beauté et pour le charme des manières, mélange piquant de la réserve asiatique avec le gracieux abandon des femmes grecques, et la politesse accomplie des femmes les plus élégantes de l'Europe ... A. de Lamartine, Voyage en Orient,1835, p. 269.
25. ... une femme s'exprimant bien, mais parlant comme on écrit, sans abandon, avec une garde, sans rien de la liberté, ni du charme, ni du laisser-aller charmant de la femme; (...) E. et J. de Goncourt, Journal,1858, p. 476.
26. Les deux hommes étaient d'accord. Il suffisait, pour en avoir la certitude, de voir la détente physique qui s'était produite chez l'un et chez l'autre, l'abandon, l'espèce de lassitude qui suit un entretien mouvementé. R. Bazin, Le Blé qui lève,1907, p. 145.
Rem. Une nuance de confiance peut s'ajouter : ,,Il m'a parlé avec abandon.`` (Ac. 1835).
Au lieu d'une manière d'être de la personne elle-même, il peut s'agir, p. ext., d'une manière d'être de choses qui, comme les vêtements, en expriment le goût :
27. ... ses habits, de couleur bleue et de forme austère, n'avaient jamais ni recherche, ni couleurs éclatantes, ni négligence, ni abandon dans les plis. A. de Lamartine, Nouvelles confidences,1851, p. 18.
Ou de la manière d'écrire (style) ou de peindre :
28. [Rivarol] avait senti la nécessité de retremper la langue, de lui donner plus de franchise, plus de mouvement et d'abandon, de créer en peignant. Ch.-J. de Chênedollé, Journal,1822, p. 118.
29. Il n'est pas de composition plus rigoureuse que « le règne de Flore », (...) il n'en est pas qui respire mieux le naturel ou qui simule mieux l'abandon. A. Lhote, Peinture d'abord,1942, p. 60.
Prononc. ET ORTH. − 1. Forme phon. : [abɑ ̃dɔ ̃]. Enq. : /abãdõ/. 2. Hist. − Le mot abandon, issu du syntagme a bandon par agglutination* (cf. étymol. et Pope 1961, § 606), apparaît sous sa forme actuelle dès son entrée dans la lang., au xiies. On relève une var. graph. abandum (cf. étymol. 2), forme latinisée, le suff. -um ayant la même prononc. [õn] que la finale de abandon (cf. Beaul. t. 1 1927, p. 120 et 194).
ÉTYMOL. − Corresp. rom. : esp., port. abandono; prov. abandoun, abandou; ital. abbandono < fr. abandon. 1. 2emoitié xiies. abandon fere « remettre, céder » (Chrét. de Troyes, Erec, éd. Förster, 4423 ds T.-L. : Quant abandon n'an avez fet, Qui avoir le porra, si l'et); 1165 a abandon estre « être à la disposition, à la merci de » (Aliscans, éd. Guessard et Montaiglon, 93 ds T.-L. : N'avrai en France vaillant un esperon, Ne soit Guillaume tout a son abandon); av. 1167 metre en abandon « mettre à disposition » (Marie de France, Lais, éd. Warnke, Eliduc, 644 ds T.-L. : Tuz les aveirs de sa maisun Li met li reis en abandun); 2. 1191 « caution, gage mis à la disposition du créditeur par son débiteur, consistant en biens meubles ou immeubles » terme jur. (Charte de coutume de Saint-Quentin ds Du Cange s.v. abandum, forme abandon; déjà en 1158 forme abandum). Issu du syntagme a. fr. (mettre) a bandon « mettre à disposition. livrer » (cf. Cligès, éd. Micha, CFMA, 184 : qu'a bandon ses tresors li met), bandon signifiant à l'orig. « pouvoir, puissance » (Rol., éd. Bédier, 2703 : Trestute Espaigne iert hoi en lur bandun) (cf. du point de vue sém. lat. médiév. bannum « proclamation du seigneur dans sa juridiction entraînant la main-mise de son autorité, l'octroi de sa protection » : bannum mittere, ponere, concedere, largiri, in bannum mittere ds Du Cange s.v. bannum1, Mittellat. W. s.v., 1343, 40 sq.). Le dér. bandon est issu du croisement des 2 rad. ban- (frq. *bannjan « bannir ») et band- (frq. *bandjan « faire signe »), auquel il est fait appel pour bannir et bannière (cf. lat. médiév. bandum « bannum » et bandire « bannire »; Du Cange s.v. bandum2; Gam. Rom. I, 160-161). L'hyp. de bandon dér. du fr. ban (Bl.-W.4) est impossible, le suff. -don n'étant pas attesté; le dér. de ban est banon, terme jur. norm. dep. 1337 (Gdf.). L'hyp. de EWFS2qui fait remonter abandon à abandonner < a ban donner est improbable, ce dernier syntagme n'étant pas attesté (doner a abandon invoqué par EWFS2n'est attesté qu'au xiiies., 2 ex. ds T.-L.). HIST. − 1. Les emplois actif et passif sont anc. quand l'obj. est une chose; on retiendra parmi eux : a) « libre disposition » dans les expr. être, mettre a (a)bandon, faire abandon de (xiieau xvies.). D'où « permission » (Froissart, XIV, éd. Pléiade, p. 727 : l'abandon du piller et rober...avoient), sens qui disparaît par la suite, et « abondance » (Marguerite de Navarre : En mon païs croist en grand abandon tres cher encens), sens qui n'apparaît plus au xviies.; b) « gage mis à la disposition du créditeur par son débiteur » (Du Cange s.v., Charte Saint Quentin, 1195); ce sens subsiste jusqu'au xxes. 2. L'emploi avec un obj. personnel semble dater du xviies. : a) emploi passif : Molière, Tartuffe, I, 1, vers 39-40; b) emploi actif : Fur. 1960, s.v., avec obj. second. et nuance péj. (« débauche »); Ac. 1798 : ,,abandon de soi-même``, avec également nuance péj. (« oubli de soi blâmable »); cependant dès Ac. 1798 apparaît aussi le passage de la valorisation dépréc. à la valorisation appréc. qui semble lié à l'évolution du concept de nature / naturel. L'emploi mystique, qui remonte au Moy. Âge (xiiies., cf. T.-L., Chev. Cygne, 109) a une valeur appréc.; il se développe au xviies. 3. L'expr. à l'abandon (sens passif) n'apparaît qu'au xviies., mais sera par la suite très usitée.
STAT. − Fréq. abs. litt. : 2 224. Fréq. rel. litt. : xixes. : a) 2 810, b) 2 969; xxes. : a) 3 279, b) 3 497.
BBG. − Barr. 1967. − Blanche 1857. − Chabat 1875-76. − Dupin-Lab. 1846. Éd. 1913. − Galiana Astronaut. 1963. − Gramm. 1789. − Gruss 1952. − Heinim 1963. p. 66. − Jal 1848. − Lafon 1963. − Le Clère 1960. − Marcel 1938. − Math. 1967. − Porot 1960. − Réau-Rond. 1951. − Romeuf 1956-58. − Sill. 1965. − Soé-Dup. 1906. − Spr. 1967. − St-Edme 1824-28. − Théol. cath. 1909. − Will. 1831.

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