BOMBEMENT, subst. masc.
État de ce qui est bombé; convexité, renflement. Le bombement du front : 1. Cette région, que nous appellerons rhénane, a été primitivement continue; (...) Il faut se la représenter, dans cet état primitif, comme un large bombement, un dôme qui se serait graduellement soulevé.
Vidal de La Blache, Tabl. de la géogr. de la France,1908, p. 184.
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En partic. [En parlant d'une chaussée, d'une route] :
2. Toutes les opérations de réduction de bombement, d'élargissement des chaussées, de relèvement des virages, d'augmentation du rayon des courbes, (...) relèvent de préoccupations touchant la sécurité.
J. Thomas, La Route,1951, p. 320.
PRONONC. : [bɔ
̃bmɑ
̃].
ÉTYMOL. ET HIST. − 1694 (Corneille).
Dér. de bomber*; suff. -ment1*.
STAT. − Fréq. abs. littér. : 2.