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En partic. ♦ Terrain où se joue un sport particulier. Stade de football, de tennis. Maintenant encore, les matches du dimanche, dans un stade plein à craquer, et le théâtre, que j'ai aimé avec une passion sans égale, sont les seuls endroits du monde où je me sente innocent (Camus, Peste, 1947, p. 1518).En 1958, au stade Roland Garros, lors des championnats internationaux de France, le Français Robert Haillet bat l'Américain Patty (Jeux et sports, 1967, p. 1377).
♦ Stade olympique. Stade répondant aux conditions définies par le règlement des Jeux Olympiques. Le stade olympique et la maison de la culture et de la jeunesse conçus par Le Corbusier s'emparent du site et complètent l'ensemble (Gds ensembles habit., 1963, p. 34).
♦ Stade de ski. Pente naturelle d'une montagne aménagée pour permettre des sauts grâce à des tremplins, munie d'une piste de slalom et d'une piste de descente. Construction d'un stade de ski (La R. du ski, no8, nov. 1937, XXIX ds Quem. DDL t. 36).
♦ En compos. Stade-vélodrome. Stade dont la piste pédestre se double d'une piste cycliste. Humiliation suprême, pour le dernier match de la saison l'O-M [l'Olympique de Marseille], avant-dernier, reçoit le dernier, Brest au stade-vélodrome (Le Nouvel Observateur, 28 avr. 1981, p. 60, col. 1).